5 questions à Marie-Pierre Medouga

 Faciliter la mise en œuvre de l’intelligence collective

 5 questions à Marie-Pierre Medouga, conceptrice du psycho-portrait symbolique

D’après un entretien avec Chantal Rolland, psychothérapeute et journaliste, éditrice et rédactrice en chef du magazine Tepaseul et qui a testé la méthode le 18 juin 2013 . Réactualisé le 19 avril 2018

Pourquoi avez-vous-conçu cet outil ?

Tout d’abord plus qu’un outil, c’est une méthode. En réalité, je m’en sers dans ma pratique professionnelle et ma vie personnelle depuis presque 30 ans.Associée et directrice de clientèle d’une agence de communication dans les années 80, fondée avec mon conjoint, j’avais besoin d’un outil pour mieux comprendre les entreprises, leur fonctionnement, ce qui les motivait. J’avais certes déjà étudié la sociologie des organisations, et je réalisais fréquemment des recommandations qui utilisait certaines démarches analogues mais il me manquait un outil ludique d’enquête auprès des décideurs et des équipes.

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Quelques articles & citations parus

 

Carrière : Senior et mûr pour l’indépendance?
Portrait d’une coach/formatrice, fondatrice d’une méthode : (cliquez sur le titre) Tepaseul
L’écoute active : le Blog Pour l’Emploi
Développement personnel : Découvrir son psychoportrait symbolique et se révéler
Action commerciale : s’améliorer en écoutant ses vendeurs
Economie : MP Medouga invente de la méthode des psychoportraits symboliques

2017 l’année de l’intuition ?

L’institut du Psychoportrait Symbolique est créé depuis 2015 mais les formations, ateliers , animations et les articles ou interventions qu’il publie ou développe existent depuis bien plus longtemps.Tout un catalogue de formations a été créé pour les entreprises et leurs collaborateurs. L’année 2017 sera placée sous le signe de l’intuition.

Le serpent blanc : osez la compassion, l’intuition et les conduites disruptives pour manager !

Le serpent blanc

Écouter : https://youtu.be/A8J_7RIO6tc

Un conte des frères Grimm

 

Un roi très savant se faisait livrer tous les jours un plat qui contenait de la viande de serpent blanc mais que personne n’avait jamais vu car le roi était toujours seul pour ouvrir le plat. Un jeune serviteur curieux un soir se cacha et découvrit ce que dissimulait le plat : le serpent blanc. La chair de celui-ci permettait à celui qui le mangeait de comprendre le langage des animaux. On accusa le jeune serviteur du Roi d’avoir volé une bague.  Il s’aperçut alors qu’il comprenait le langage des animaux car il entendait des canards cancaner : l’un deux avait mangé la bague. Il demandait à ce qu’on égorgea le canard et qu’on lui ouvrit le ventre. Il put prouver son innocence. Et il s’en fut par les routes. Il rencontra trois animaux à qui il apporta de l’aide.  Des poissons qu’il remit à l’eau, des fourmis qu’il n’écrasa pas et des corbeaux qu’il sauva de la faim en tuant son propre cheval pour les nourrir. Arrivé dans un royaume, il apprit qu’un défi existait : celui qui le réussirait pourrait épouser la princesse, l’échec, signifiant la mort. Grâce au poisson, il put ramener la bague sur le rivage. Mais la princesse orgueilleuse refusa de l’épouser et lui donna un second défi : ramasser le mil qu’elle avait renversé dans un champ : grâce aux fourmis, il réussit encore. La princesse fière trouva un troisième défi : ramener une pomme d’or de l’arbre de vie. Heureusement les corbeaux qui avaient entendu la lui ramenèrent. Le serviteur coupa la pomme en deux : ils la croquèrent et la princesse tomba amoureuse du serviteur qui put enfin l’épouser et devenir roi.

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